This artwork unfolds like a whispered vow, captured in light and quiet geometry. Shapes align like the unspoken phrases of a secret, while the colors sing an eternal waiting. Red beats with the pulse of longing, blue hums with the loyalty of memory, and yellow lights the path toward a love yet to arrive. Within the balance of this composition lies the softness of a gaze, the hush of a farewell that dares to hope for return. A promise is what remains when voices fall silent and only the soul continues to speak through gesture and form. And here, every line, every hue seems to whisper: “I’ll return, and you’ll know I never stopped loving you.”
A Promise
You left no words, just silent skies,
But in your hush, the morning sighs.
A golden thread, a crimson trace
— I feel your vow in empty space.
The blue still hums your gentle name,
Through trembling leaves,
through starlit flame.
You’re not here now, yet all still shows
The quiet fire your promise knows.
So if I breathe where shadows fall,
I know you wait beyond it all.
And every shape and shade you missed
Now holds the echo of your kiss.
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Une promesse
ce dessin s’ouvre tel un serment contenu dans la lumière. Les formes s’ordonnent comme les mots d’un secret encore chuchoté, les couleurs chantent une attente douce, presque éternelle. Le rouge, battement du cœur, veille sur un rêve ; le bleu murmure la fidélité d’un souvenir ; le jaune éclaire le chemin d’un amour à venir. Il y a dans l’équilibre de cette composition la tendresse d’un regard, la douceur d’un adieu qui espère un retour. Une promesse, c’est ce qui subsiste quand les voix se taisent et que les âmes continuent de se parler à travers les gestes. Et ici, chaque ligne, chaque nuance, semble dire : « Je reviendrai, et tu sauras que je n’ai jamais cessé d’aimer. »
Une promesse pour un cœur qui attend
Tu n’as laissé que le ciel muet,
Mais dans ce calme, le jour promet.
Un fil doré, une trace rouge
— Ton serment flotte, que rien ne bouge.
Le bleu murmure encor ton nom,
Parmi les feuilles, dans l’horizon.
Tu n’es plus là , mais tout s’accorde
Au feu discret que ta promesse borde.
Alors je souffle où l’ombre vient,
Sûr que tu veilles, au loin, plus loin.
Et chaque forme que tu oublies
RĂ©pète le goĂ»t de tes doux plis…